Si des poupées de porcelaine à la chevelure lisse ont longtemps trôné au rayon jouets, leurs homologues de couleur se frayent timidement mais assurément leur place. Le marché est prometteur, porté par des entrepreneurs désireux d’offrir aux petites filles noires et métissées, des figurines qui leur ressemblent, des poupées auxquelles elles peuvent s’identifier. Nous partons…
Elle est franco-sénégalaise et vit dans la région parisienne. Il y a deux ans, elle lance une marque de poupées noires et métissées pour occuper un marché quasi-inexistant en France où la demande est forte. Après les livres jeunesse pour les enfants noirs et métissés, Rokhaya Diop, l’entrepreneure derrière les poupées Urbidolls, rejoint ce mouvement…