“Khessal”, “tchatcholi”, “bodjou”, “dorot” ou encore “kopakola”, peu importe comment vous l’appelez, la dépigmentation est une réalité en Afrique. Et une réalité ravageuse vu les nombreux dégâts qu’elle a créé et continue de créer sur le continent. Tous les jours, nous croisons des personnes qu’on devine très belles mais qui malheureusement ont la peau brûlée…
Oui, des femmes africaines continuent à se dépigmenter la peau. Elles semblent constituer une majorité lorsqu’on s’en tient à la manière dont on nous présente les chiffres sur la dépigmentation en Afrique, dans tous les articles et vidéos qui traitent de la question. Mais cette majorité apparente ne doit pas éclipser ces autres femmes…