L’une de nos fortes croyances chez Setalmaa, c’est que l’Afrique est le prochain grand marché de la beauté et des cosmétiques. N’en déplaise aux pessimistes, rien ne peut arrêter l’évolution de cette classe moyenne consommatrice de produits cosmétiques de marques africaines et internationales. Rien ne peut freiner l’arrivée de cette nouvelle vague de consommatrices africaines à la recherche de produits sains et de qualité. Rien ne peut arrêter cette nouvelle génération d’entrepreneurs beauté prête à révolutionner tout un secteur. Seulement, il faut connaître ce marché pour suivre sa croissance et son évolution. Et si le marché de la beauté en Afrique francophone vous intéresse et que vous êtes prêt à y prendre votre place et vos parts de marché, cet article est pour vous.
1) La connaissance du potentiel de la taille du marché en Afrique francophone
Si vous lisez cet article, c’est que vous êtes forcément intéressé.e par le secteur de la beauté et des cosmétiques en Afrique et que vous avez certainement lu beaucoup d’articles où on vous parle du marché de la beauté au Nigéria, ou en Afrique du Sud ou alors au Kenya et très peu voire pas du tout du marché des pays d’Afrique francophone.
Le fait est que le continent africain ne se résume pas qu’en Afrique anglophone. En 2021, on ne peut plus ignorer plus de 335 millions de consommateurs que compte la partie francophone du continent et tous les grands cabinets qui donnent les chiffres du marché de la beauté en Afrique doivent désormais prendre en compte ceux de l’Afrique francophone.
Et bien sûr, le marché de l’Afrique francophone est beaucoup plus petit que celui de nos voisins anglophones. Mais pourquoi une entreprise s’interdirait de prendre sa part dans un marché francophone qui faisait environ 5 milliards d’euros en 2020, soit environ 3 375 milliards en F CFA, plus des parts également en Afrique anglophone ?
Et oui, en 2020, le potentiel du marché en Afrique francophone était de 5 milliards d’euros. Ce chiffre sera presque doublé et passera à plus de 9 milliards d’ici 2025 selon nos projections détaillées dans le rapport Setalmaa 2020. Les 3 pays les plus importants dans ce marché aujourd’hui sont le Sénégal, la Côte d’Ivoire et le Cameroun. A l’exception de la RDC (République démocratique du Congo) qui peut carrément faire exploser ces chiffres du marché avec ses plus de 80 millions de potentiels consommateurs si ce secteur se développe dans le pays dans les prochaines années, les autres pays de cette région du continent ne peuvent pas réellement faire bouger les chiffres sauf si le pouvoir d’achat de leurs consommateurs augmente considérablement. Quand on veut se lancer dans ce marché, voici une des informations importantes à savoir.
L’autre information majeure que donne le rapport Setalmaa 2020, c’est quels sont ces segments beauté qui intéressent les femmes africaines ? S’agit-il du maquillage ? De la parfumerie ? Des produits capillaires ou alors du Skincare ? De plus, que représente en termes de chiffres, le potentiel de chacun des segments beauté qui passionne les consommatrices africaines ?
Quand on veut lancer ou développer son business beauté sur ce marché, une lecture lucide de cette partie du rapport permet de (re) voir ses objectifs et de se projeter lentement mais sûrement sur ce marché.
2) La connaissance profonde des 2 types d’acteurs qui se partagent le marché et comment se différencier ?
Deux profils d’acteurs se partagent le marché de la beauté et des cosmétiques en Afrique francophone : les acteurs africains et les acteurs internationaux. Ces deux types d’acteurs sont présents dans tous les segments beauté et dans tous types de commerces ou structures de beauté (capillaires, skincare, maquillage, instituts de beauté, e-commerce, (para) pharmacies, écoles de formation, …)
Dans ce rapport Setalmaa 2020, vous trouverez une analyse détaillée sur les acteurs locaux ainsi que les acteurs internationaux avec un focus spécial sur les marques africaines et les marques internationales. En effet, il y a un match intense entre ces deux acteurs (au moins sur le capillaire).
Les marques africaines ont l’avantage d’avoir une proximité avec leur cible et de proposer des produits naturels que réclament aujourd’hui des consommatrices africaines de plus en plus éveillées; mais à côté, elles ont l’urgence d’assurer la sécurité d’utilisation de leurs produits mis sur le marché à travers une norme, de sortir de leur zone de confort et attaquer les autres marchés africains et l’international. Pour ces marques africaines, le choix n’est pas énorme. Il faut soit cette sortie de la zone de confort, soit être engloutie par les géants de ce secteur dans les prochaines années. Lire le rapport, vous convaincra de cette conclusion mais surtout, il vous donnera les clés pour éviter que cela arrive à votre marque.
Et à côté, on retrouve des marques internationales dont le marketing agressif a eu des effets positifs sur les consommatrices africaines en termes de renommée et donc de ventes. Mais elles ont encore des efforts à faire pour déconstruire les préjugés qu’ils ont sur la consommatrice africaine et sur le marché africain. Certaines marques internationales n’ont pas encore intégré l’évolution du profil de la consommatrice africaine francophone sur le continent. Celle-ci est aujourd’hui ouverte au monde, exigeante sur la qualité, possède du pouvoir pour celles qui éprouvent le besoin de résoudre une problématique beauté. Et ce, quel que soit leur niveau social. En 2021, on ne peut plus mépriser un tel profil. On ne peut plus rester sur des préjugés d’une consommatrice qui ne sait pas ce qu’elle veut, qui n’a pas de pouvoir d’achat et qui achète de la contrefaçon. Lire le rapport Setalmaa 2020 vous donnera les atouts des marques internationales sur ce marché africain mais aussi les points qu’elles doivent travailler pour de meilleurs résultats sur ce marché spécifique.
3) La connaissance profonde de la consommatrice africaine. Qui est-elle ? Qu’est-ce qu’elle veut et recherche ?
C’est l’une des parties les plus importantes de cette étude 2020. La partie où nous avons fait les découvertes les plus surprenantes. Nous aurions pu aussi inclure les hommes dans ce rapport mais nous avons fait le choix, pour une première édition, de faire un focus sur les consommatrices de ce marché parce qu’elles sont les plus grandes acheteuses pour elles et pour leur entourage.
Dans cette étude, nous avons indiqué les problématiques beauté que veulent résoudre les africaines mais surtout, nous avons découvert que les consommatrices africaines sont assez méconnues et méprisées. Et ce, par les entreprises africaines comme internationales. Par exemple, dans ce rapport Setalmaa 2020, nous avons découvert que le pouvoir d’achat n’est pas forcément un problème pour la consommatrice africaine tant que le produit ou service qu’on lui propose résout son problème et tant qu’il est accessible géographiquement. A notre avis, cela devrait pousser les acteurs de la beauté et des cosmétiques à passer du temps à désapprendre certains préjugés ancrés dans leur façon de voir leurs clients et réapprendre en profondeur la consommatrice africaine.
D’autres découvertes qui permettent de mieux connaître cette consommatrice africaine francophone sont également données dans ce rapport pour mieux répondre à ses besoins et donc augmenter vos ventes. Lu et relu profondément et intensément, ce chapitre du rapport Setalmaa vous donnera les connaissances qui vous permettront de propulser votre business beauté en Afrique.
4) Les défis et opportunités du marché
Oui bien sûr, tout n’est pas rose dans ce marché. Il y a encore une frange de la population à éduquer et informer en matière de beauté, un marché à réguler, une chaine logistique non encore fluide, des structures étatiques aux mesures lentes sur ce domaine artisanat (secteur dont dépend la beauté en Afrique), une chaine de distribution à développer, une industrie du packaging à créer d’urgence, des matières premières à préserver et développer, une chaine de valeur de bout en bout à maitriser par les marques de cosmétique locales, des niches à développer, …
Mais justement, au lieu de prendre tous ces éléments comme des contraintes pour se lancer ou pour se développer, il faut les voir comme elles sont : c’est-à-dire des opportunités. Et vu ainsi, les opportunités sur ce marché en Afrique sont nombreuses et elles n’appartiennent qu’à ceux qui y croient, ceux qui s’y investiront tôt (en temps et en argent). Dans ce rapport, nous détaillons ces défis et opportunités du marché. Pour les plus passionnés d’entre vous qui savent lire entre les lignes, cette partie est pour vous. Elle vous ouvrira les yeux et vous inspirera à sauter le pas, à faire plus et à être patient.
5) La richesse des points développés
Si vous attendez que le marché de la beauté en Afrique francophone soit mature et se développe très bien pour vous y lancer, c’est que vous arriverez trop tard.
Le retour qui revient le plus de la part des lecteurs du rapport Setalmaa 2020 est : ce document est riche.
Oui, il est riche en informations, riche en découvertes. Il balaye tous les segments et secteurs d’activité du domaine de la beauté et des cosmétiques les plus importants sur ce marché. Certains points sont plus détaillés que d’autres et même ceux les moins détaillés fournissent quand même des données clés (il suffit d’être attentif et réceptif à tout).
Prenons l’exemple du paragraphe de l’état des lieux sur les (para)pharmacies. On y indique la frustration des consommatrices africaines de ne pas y trouver beaucoup des produits skincare que leur présente les influenceuses beauté afro-françaises qu’elles suivent sur les réseaux sociaux. On y indique une augmentation de la demande des produits de parapharmacies. Ce type d’informations devrait interpeller certains d’entre vous qui sont dans ces segments là ou qui comptent s’y lancer.
Un autre exemple sur l’e-commerce beauté, qui à notre avis, va connaitre des lendemains meilleurs sur ce marché. Nous y indiquons les éléments qui manquent fortement dans ce segment et qui empêchent son envol. Voilà encore, le type d’informations que fournit le rapport Setalmaa 2020.
Si vous attendez que le marché de la beauté en Afrique francophone soit mature et se développe très bien pour vous y lancer, c’est que vous arriverez trop tard. C’est maintenant qu’il faut s’y lancer et investir sur le moyen, long terme et y récolter les fruits. Ceci est valable pour toutes entreprises africaines et étrangères sur ce marché mais aussi pour tout porteur de projet. Investissez sur la connaissance de ce marché, lancez-vous et développez votre business. Acquérir le rapport Setalmaa 2020 est un premier pas pour atteindre vos objectifs dans ce marché. Il est disponible ici.